Il s’agit d’une activité qui génère des espaces de rencontre qui provoquent un changement de paradigme dans les relations personnelles de personnes d’origines très diverses, en générant des processus de création collective, de sorte que les participants deviennent les protagonistes de leur propre développement culturel. Il s’agit d’un laboratoire qui se déroulera en 8 sessions, sur quatre semaines. Le résultat final sera exposé lors du festival. Il ne s’agit pas d’une production théâtrale, mais d’un processus créatif permettant à des personnes qui n’ont pas l’habitude de travailler dans une production théâtrale d’expérimenter en personne les possibilités offertes par les arts du spectacle. Le laboratoire aura une deuxième et une troisième phase, jusqu’en avril. L’objectif est de créer un groupe hétérogène, mais principalement composé de femmes migrantes. Dans un premier temps, les usagers de Paris 365, de la Fondation Atena et de l’Association SEI auront la possibilité de participer. Plusieurs d’entre eux ont déjà participé aux laboratoires et aux processus communautaires organisés lors des éditions précédentes.

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Il sera dirigé par Maialen Diaz de l’association Calatea, qui soutiendra Maialen lors des sessions. Le thème de cette année sera « les réseaux de soutien ». Le laboratoire se déroulera de septembre à avril, un jour par semaine pendant 2 heures. Nous aborderons le matériel sonore d’un point de vue personnel, en nous plongeant dans les expériences liées à chaque chanson ; nous partagerons la valeur communautaire de différentes chansons, ainsi que des chansons théâtrales : nous créerons une scène à partir de chansons qui sont importantes pour les participants, à la fois par rapport à leur biographie personnelle et au contexte social. Il s’agira d’un atelier ouvert à tous les citoyens, avec une invitation spéciale aux jeunes en situation d’exclusion sociale, utilisateurs de Paris365 ou de Lantxotegi. La création scénique sera le moyen de générer un environnement de relations improbables dans la vie quotidienne.